Mon coeur pleur chacun de ces moments passer loin de vous,

Alors que parfois la caresse d'un baisé pourrais l'apaisé.

Mon coeur cri la détresse hurle sa peine qui le torture,

Même si personne ne l'entend, même si personne ne le comprend.

Que dire d'un coeur qui aspire à la liberté, qui d'un amour qui cherche à s'envolé.

Ne freiné pas sa joie, qu'il à de vous dire combien il vous aime.

Grâce, grâce, que la paix me soit accordée dans mon coeur, dans mon âme,

La peine est si grande, voyez ces larmes, n'y a t-il donc rien qui puisse me soulager la tristesse serais que la vie que j'irais mené

Le sort s'acharnera durant combien temps avant que la paix puisse enfin m'être quotidienne, sans que demain ne soit encore une épreuve à surmonté

N'y a t-il de paix que dans ma bien aimée, ou la mort devrait-elle cessé de m'épargner,

Vais-je me brûler les ailes, non cela ne peu continuer je me les suis trop de fois brisées à jouer avec Cupidon durant des années, maintenant je ne peu continuer tant de mal mon blesser, tant de larmes ont coulées, une seul vie et tant peine, la mort s'amuserait-elle à m'épargner pour rire de mes malheurs, jusqu’à ce que meure.

L'épreuve d'un coeur si tourmentée je n'est de cesse de le supporter, quand bien même je fut soulager, je n'est de peine à vivre ainsi, que trop d'attente

Je blâme le ciel de m'être que chagrin,

L'envie de partir si souvent,

Comme de mourir pour autant

Vois les larmes coulées sur mes mains,

Sont cœur ma délaissé je reste inachevé,

J'aurais pourtant tenté de la conquérir,

Mais rien ne peu la faire revenir,

Alors je reste assis mes larmes comme amies,

Crépuscule de mon âme quelle chagrin,

Vais-je mourir ce matin,

Faire comme si c'était la fin,

Je dois vous laissez mon corps pour que vous le torturiez,

Encore une fois les blessures vont me rappelée combien je vous est aimée,

Ne faibliriez vous jamais afin de me laisser,

Ne vous rendez-vous pas compte que c'est pour elle que je vis,

Puissiez vous un jour m'aimez, le temps nous rapprocher,

Juste pour une seconde, une heure, une éternité,

Je vous aime mort adoré

Supplier les anges de me laisser mourir

Pour qu'enfin je puisse vous retrouver

Emplis d'amour je me laisse aller

Bercer par la douceur de vos phrasée

Mais la douleur s'intensifie je ne suis pas à vos coté

Je m'imagine dans vos bras l'espace d'un instant

Buvant ce rêve comme un alcoolique vous êtes ma drogue

Comme tout cela est certes cynique

Je serais donc en manque 

Je m'abandonne maintenant dans les bras des anges

Mon sevrage sera intense, une douleur si intense

Pendant des décennies je vivrais l'enfer de vous oublier

Le diable riant de la douleur que j'ai de vous oublier

Devrais-je l'espace d'un instant vous oublier

Alors que la mort pourrais seulement m'amnésier

Les tortures dureront des années tant que je ne pourrais me dévoiler,

Mais est ce que un jour vous saurez me soulager ?

Alors que ma douleur est tellement immense

J'imagine que vos caresses effacent la peine de mon coeur en latence

Dissolve les larmes qui m'entraînent

Dans une rivière de douleur intense

Mais le coeur lourd de n'avoir vous dire ces deux mots magiques, simples mais si compliqués